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30 août 2006 3 30 /08 /août /2006 12:32

Une note pour dire à Save the last dance et Aegina, qui m'ont fait plaisir en venant ici, que je les ai incluses dans mes liens, et que si ça les gêne...ne pas hésiter à me le dire. J'ai déja essayé de vous mettre environ 50 commentaires sans que ça marche, je n'ai toujours pas compris pourquoi, mais j'ai accroché à la lecture de vos deux blogs.

Save, je te "suivais" déja depuis un bon bout de temps, discrétement...

Aegina, je t'ai découverte il y a peu, et puis je suis dég, j'étais toute contente d'apposer mon commentaire sus l'article "trop", mais en vain. Je le trouvais tellement vrai, c'est un débat tellement vaste. Tant de choses. Trop.

Bref. Et puis je n'arrive pas à vous contacter par mail, enfin, j'éspére que vous repasserez par ici...

Et Blue, je suis à ton entiére disposition, si je peux me rendre utile...ça me ravit.

*Je vais finir par avoir les chevilles énormes avec vos compliments ^^ Aprés je vais devoir encore faire des milliers de km pour éliminer tout ça lol *

*[Merci.]*

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Pour ma part R.A.S

J'ai été chercher tous mes pavés de psycho hier. Trop contente. Pas confiante pour un sous mais hâte de débuter les cours. Soif d'apprendre.

Mon départ est décalé; ma mére ne veut plus me laisser partir^^

Take CAre.

 

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28 août 2006 1 28 /08 /août /2006 15:33

...dans le temps. Break. Mode amorphe. Rien. On n'a beau presser dessus, y a rien qui sort. Que dalle. Keutchi. J'ai fini mon contrat hier soir. Heureuse. Libre, soulagée. Ca començait à faire beaucoup. Trop. Plus d'energie.

***

Alors j'erre. Hier j'ai été invitée en charmante compagnie à manger un japonais. [un plat, pas le serveur], mis à part le fait que je n'ai rien pu garder c'était trés bon. Mis à part le fait que lorsque nous sommes allés boire un  verre apré j'ai eu droit à un interrrogatoire serré, et que j'ai croisé là un mec que j'adore [il me fait fondre, on dirait une vieille groupie ridicule qd je lui parle,je me foutrai des tartes j'vous raconte pas] avec une grosse pouffe qui croulait sous les tonnes de fond de teint, j'ai passsé une agréable soirée. Se lâcher. Anesthésiée, plus assez de force pour retenir les flots. J'ai tout dit à Lui, que je ne connais pas et j'm'en fous, tout vomi, tout pleuré, tout. J'en avais rien à foutre que ce soit lui ou un autre. Rien à foutre d'exploser dans ce putain de bar à champagne à la con, ou dans la rue ou dans sa voiture. L Â C H E R. Besoin vital. J'ai passé une trés bonne nuit ensuite. Et puis je vais ranger mes affaires et suitter la maison familiale que j'ai occuppé l'été pour retourner chez moi. Avec la trouille. Mauvais pressentiment. Mais ne pas se laisser gagner par l'angoisse. Surtout pas. Et puis dans 15 jours je pars au maroc, et puis je reprends les cours et mes consultations psys. çA va aller hein? OUI. J'ai confiance et veux y arriver, suffit de ne pas me laisser aller. Oui mais...arf. Peur. Peur du dérapage.

[Le plus horrible dans l'anorexie, c'est de penser avoir le contrôle alors que ton plus grand ennemi est toi-même. Parceque tu sais que tu peux le perdre.]

Je n'ai rien de plus à tapoter sur le clavier, à part un grand merci à vous pour votre soutien, un coucou à vous toutes.

***

Cadiche, je fume un paquet de /jour et j'ai parfois l'impression d'être née avec une clope greffée aux lévres mdr. Mais c'est en projet. Lorsque j'attendrai un enfant. Un jour. I hOpe. 

Save, merci de ta visite^__^ Ravie .

[Et maintenant, je compte aller défoncer le connard de chat de mes soeurs qui vient de me bouffer un de mes souriceaux préféré, putain je le deteste fais chier bordel, qu'est ce que ça peut etre vicieux un chat....m'enerve!]

Je viendrai surement moins souvent poster,(je n'ai pas de connexion chez moi) mais ce qui est sur c'est que tout ça va me manquer. Tout cette blogosphére. C'est fou. J'ai pris gout à venir vous lire. Echanger. Partager ces fragments de vies inconnues. M'épancher dans cet espace que je me suis approprié.

Pensées à vous toutes.

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24 août 2006 4 24 /08 /août /2006 19:15

Comme je l'ai dit je suis allée chez mon Papa hier.

J'ai d'abord raté tous mes trains.[Il habite dans un bled complétment pommé] Evidemment, chez lui, y a genre 4 trains par jour à tout casser.

Mais entetée comme je suis, j'avais décidé que j'y allais, alors je devais y aller. J'ai pris le train de 22h10, qui s'arretait dans une ville voisine. A 3/4 d'heure à pieds de chez lui. Je descendais alors sur le quai à 22h45, determinée comme pas deux. Puis j'ai reflechi. Comportement irraisonné. Tandis qu'il pleuvait des trombes, les larmes me rpotegeaient des phares aveuglants. J'ai essayé de l'appeller toute la journée, la veille aussi. Jamais il ne m'appelle pour prendre de nouvelles, me raconter comment ça se passe là-bas. Il memanque horriblement, ça me prend aux tripes, et lui, nada. Je me sens mal de penser ça. Il a ses problémes aussi. Une femme qui le trompe, une belle mére qui le harcéle, un divorce en stand by, un banquier envahissant et 3 fils. Ca prend de la place, évidemment.

L'impression d'être transparente. Me battre toute seule. Dans la rue l'hystérie commence,les tremblements deviennent litteralement des spasmes. [à ce moment précis, mes pensées divergent brusquement vers le nombre de calories dépensées lors d'une crise d'angoisse].

Je me sens seule. Mes parents sont dans le sud, impossible de parler à ma mére de "ça". Que tout le monde autour de moi vit sa vie, que je suis là pour aider, pour faire rire et écouter, et que personne ne se demande si ça va. Juste, si je vais bien bordel. J'ai une famille aimante, y a pas de problémes,et c'est aussi de ma faute. J'évite tellement de parler de tout ça, que tout le monde s'y est habitué. E.est anorexique, point. Comme si c'était definitif, avec fatalisme, voila, dans leur tête c'st bloqué sur "anorexique".Impression d'avoir été rangée soigneusement,avec une belle étiquette, et qu'aujourd'hui j'essaie toute seule de la décoller. Si l'on en revient à mon pére, je l'écoute plus que je ne lui parle. Mon pére est depressif à cause d'*elle*. Avant il était fort.. Se fait malmener psychologiquement par elle que j'ai appris à haïr de tout mon être. Il l'"aime". J'ai envie de l'étrangler quand il me dit ça. Il sait qu'il faut partir. Qu'elle est dingue. Qu'elle est hystérique et mythomane. Qu'unjour elle a decidé de maigrir juste pour me faire chier. Juste par défi, me faire culpabiliser. M'a demandé comment je me faisais vomir. Salope.

Je sais que tout ça le travaille. Mais.

Mais je n'existe plus. M'efface. Nos conversations ne portent que sur *elle*. *M'effacer pour elle*.

Sa situation nous a rapprochés. Mais j'ai disparu avec. J'aimerai qu'il joue son role de pére, juste, me prendre dans ses bras. Que je sente sa présence à mes cotés, son soutien. Comme deux êtres fiers que nous sommes, les sentiments sont étouffés. Mais si moi je les étouffe, je les avorte, j'ai l'impression que Lui ne voit juste pas ce que j'essaie de gueuler. Je me sens mal. Mal, au fond. Dans ma tête.

Quand je suis [enfin] arrivée chez eux, les yeux essuyés d'un revers, sourire. J'ai souri bêtement et les ai écoutés me raconter leurs vacances. La bête triturait mes tripes entre 2 phrases bateaux que je lançais. *Sentiment d'irréel*. Être assise à la table de personnes qui font "comme si tout allait bien". Hypocrisie malsaine.  S e u l e.

Je craque parceque je suis fragile et que je voudrais etre trop solide. Parceque je suis pas une éponge. Parcequ'on attend de moi, et ça plus mes propres exigences ça fait  beaucoup. Parceque je veux être psy et que je pourrai jamais exercer, personne n'y croit. Parceque j'ai 20 ans et une vie de vieille depressive frustrée. Parceque j'ai l'impression que le vide me poursuit. ParceQue je tomberai jamais amoureuse. ParceQue j'ai encore des images de viols dans la tete la nuit. Parceque j'ai envide fumer et que j'ai rien à fumer. J'ai envie aussi de me prendre des millions de cahets et que j'ai rien pour me calmer.

*Peut-être juste aussi que je suis fatiguée et que j'ai besoin de vacances.*

Il est clair que dans ces moments là mon miroir est source d'angoisses profondes. Géniteur d'images déformées, ma vue est troublée. Une séance photo mal[scéne] en est sortie. NON, mes jambes ne se touchent pas. Pourtant je les vois...ta gueule!

Conscience amére de devenir dingue. Prefererait être inconsciente. Plaisir futil.

Ne s'occupper  que de l'image que l'on renvoie aux autres me parait bien creux. Surtout si c'est l'objet principal de l'existence.

Photo apaisement/ Peur./ Apaisement. Au fond de moi ça gueule. La raison et la maladie hurlent crescendo. Oui mais moi j'ai qu'un corps, qu'une seule tête, une seule âme, et c'est pas fait pour la colloc'...on aurait dû le stipuler dans le bail.

Et pourquoi hier me paraissait si bon? D'un jour à l'autre l'extrême.

M'en vais ranger la maison ainsi que mon esprit.

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*Envie de rapprocher mon rdv. Confirmation que oui c'est une bonne idée. C'est un besoin*

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23 août 2006 3 23 /08 /août /2006 19:00

J'ai passé de supers moments ces derniers jours...^^

En fin de semaine j'ai eu de lourdes insomnies, mais je récupére petit à petit.

J'ai reçu des potes lundi soir, et c'était top...J'ai du les renvoyer chez eux à 2h parceque premiérement j'étais bourrée, et deuxiémement je piquais salement du nez...lendemain after avec ceux qui étaient restés, un verre sur Lille, un ptit resto le soir, pis rebelotte devant desperate housewives. Aujourd'hui je suis allée bosser sereinement. Bon, j'avoue, j'ai dû aller me cacher aux toilettes pour y piquer un somme^^.

J'ai eu l'impression de mener une existence "normale". Job étudiant, sorties, un noyau d'amis solide, des projets d'étude et d'avenir.Un permis en cours, bref. Oxygéne.

Je leur ai parlé de moi. De mes décisions. Et on a fêté ça dignement, j'ai dailleurs été étonnée des réactions diverses qui m'ont touchée en plein dans le mille. Et je trouve que ça fait du bien, un bien fou en fait. De partager.

J'ai toujours évité de parler de moi. Bon, évidemment la silhouette parle d'elle même, et les inquiétudes qu'elle a pu suciter et qu'elle sucite encore a toujours reçu des réponses pragmatiques et bréves.

Peur de peser. Peur de gêner.

Mais il me semble que le partage est une base de l'amitié...

Bon enfin bref, ces derniers jours ont été canons.

Ce soir je file chez mon pére, aprés m'être inondée de bouillon de légumes [ça va être pratique dans le train], demain je lave la maison de mes aprents de fond en comble pour préparer leur retour.

Sinon, je passe du coq à l'âne mais je lis un super bouquin en ce moment et faut absolument que je vous en livre quelques fragments, c'est L'antimanuel de la philosophie, accessible et pertinent.

Je n'ai pas le temps d'écrire plus, et je dois dire que vous et mon blog m'avez manqué durant ces derniers jours...je prendrai le temps de répondre aux commentaires demain...merci à vous de me lire.

Take care.

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21 août 2006 1 21 /08 /août /2006 00:17

... Je me sentais bien. Malgrés 4h30 de sommeil sur 3 jours, et de nombreux "piquages de nez" dans des endroits incongrus, aujourd'hui je me sentais légére. C'était pas arrivé depuis des siécles et c'était bon. Je ne sais pas d'où me venait cette energie, mais j'ai pas arreté, puis au musée j'étais à l'accueil et c'est ce que je préfére. C'est passé vite pour une fois.

Hier j'ai réussi à courir une heure et quart. Fiére. A bout de souffle mais fiére. Pis j'ai pris soin de moi, comme les filles dans les films, à coup de masques et compagnie. Et pis des tartines de crémes qui sentent trop bon.

Vendredi j'ai pris mon téléphone au moins 15 fois de suite avant d'établir une communication avec le cmp pour le psy. Tout à coup je trouvais que ça n'allait pas si mal. Est-ce que j'en ai vraiment besoin? Est-ce que je ne pourrai pas faire sans? Fébrilement tapoter sur les numéros. Je le connais encore par coeur. Plein de fois j'ai raccroché avant même que la tonalité commence. Fumer. Réfléchir en brassant du vent. se contredire, hésiter, jusqu'à entendre:

_"CMP Arthur Rimbaud bonjour!

[gros blanc. ça commence bien. Les larmes montent sans savoir pourquoi.]

_Euh oui bonjour ce serait pour prendre rdv avec le Dr W. s'il vous plait...il m'a suivie l'année derniére, je suis E.S.

_Aah Mademoiselle S. ? Ah mais oui, vous aviez arreté brutalement non?

[de quoi elle se mêle cette conne, j'ai jamais pu la blairer de toutes maniéres avec ces airs de grosse focu qui te regarde de haut comme si t'étais degenérée].

J'arrive pas à croire qu'elle se souvienne de moi. RDV le 2  octobre. Ca me laisse un peu de temps. J'ai l'impression d'avoir encore la liberté come ça. Soulagée. C'est fait. Frissons.

Ce soir j'ai eu la visite de ma meileure amie. Elle est partie habiter dans le sud, et on ne se voit que trés rarement. Elle a fait un ptit saut bref mais intense dans l'anorexie. Je ne l'ai jamais supporté. De savoir que je m'étais confiée à elle. et que peu de temps aprés elle avait litteralement fondu. Elle va mieux. Mais c'est resté en travers de la gorge. Le regard de ses parents sur moi. Plein de reproche. J'étais à la place de ceux qui soutiennent et qui se sentent d'une inutilité rageante. Je l'ai eu au tél plusieurs fois, chaque fois la conclusion était qu'on allait bien. Je sais qu'elle se sent mieux, et qu'aujourd'hui il n'y a plus d'ombre. J'ai voulu partage son enthousiasme. Partager sa joie, et lui dire que de mon coté ça s'arrangeait aussi.

Mais je ne m'attendais surtout pas à la voir débarquer ce soir à l'improviste. J'ai peur en ouvrant la porte, je stresse déja. Pleine de honte. Gros malaise au face à face. Son sourire s'évanouit, le mein est gêné. Les retrouailles se font maladroitement, en essayent d'éviter le sujet.

_"Pourquoi tu m'as menti? Tu crois que ça me fait plaisir? nan mais tu t'es vue ou tu veux que je te montre bordel? T'es vraiment dégueulasse, je te dis tout et toi t'esquives tout le temps, des fois j'ai carrément l'impression dte perdre tellement tu parles jamais dtoi, de ce que tu fais, de ce que tu vis. Chaque fois que je raccroche, je me dis, eh bah voila, elle m'a rien raconté au final. Tu poses toujours plein de questions pour éviter qu'on parle de toi. Et puis à chaque fois t'avais l'air en forme jcomprends pas...Tu m'enerves. Tu crois que ça me fait plaisir de rentrer toute pimpante, amoureuse comme une gamine de 12ans, et dte retrouver là, en train de crever toute seule? T'es vraiment trop conne. Tu m'en aurais touché deux mots je serai venue te voir. J'aurai pris le train et j'aurai passé du temps avc toi. Tu le sais bien. Tu sais que je suis là non? J'ai l'impression que tu me fais pas confiance et je sais pas si t'as conscience que c'est horrible putain dmerde. Putain nan mais regarde je ...j'ai l'impression de faire 3 tonnes a coté! (on fait la même taille, 1m70, elle fait 52kg). [PleurS] Jte deteste. Pourquoi tu fais ça. Tu me fais peur. Fais quelquechose s'il te plait, s'il te plait, putain tu m'écoutes?!Et ta mére? elle dit quoi? Nan mais là arrete ces conneries faut te soigner là. Là, tout de suite, tu peux pas rester comme a..." [M'effleure la main. N'ose pas regarder. Me regarder.]

[Je la regarde suppliante, je  voudrais qu'elle se taise, je voudrais avoir l'air en forme, je voudrais ne pas lui avoir menti, je voudrais qu'elle soit pas rentrée si tot, je voudrais fuir, je voudrais qu'elle arrete de dire ces horreurs, c'et pas de moi qu'elle parle et pis faut arreter de dramatiser...

Je voudrais lui dire pardon mais les mots s'évanouissent chaque fois que j'ouvre la bouche. Alors je pleure doucement. Pardonne-moi de n'avoir rien dit. Et puis franchement, à part ces derniers jours, ça allait bien. Vraiment. Dans ma tête sonne la trahison. Je l'aurai franchementmalpris si elle était revenue en mauvais état sans m'en avoir touché 2 mots.]

Au fil de la conversation j'ai l'impression qu'elle a avancé, et que je suis restée en plan. Je me réjouis de la voir rire, de voir les traits moins tirés, de voir la lumiére dans ses yeux, de la retrouver. Elle me manque terriblement. C'est mon amie universelle, c'est mieux que meilleure, c'est celle sur qui je pourrai compter toute une vie.Et malgrés la distance, nos interets et vie différentes, y a un truc qui fait que. Elle est amoureuse et me raconte, me raconte la vie là bas, ses fetes, ses potes, ses états d'âme. Comme si on s'était jamais quittées.

Oxygéne retrouvée. Bonne soirée reboostante, non-dits envolés par la force des choses, soulagement. Je lui promets de la tenir au courant. Et de lui dire. Que j'ai le droit d'aller mal, et qu'une fois pour toute, faut que je ravale cette putain de fierté à la con.

Bilan de la journée positif^^

[°]Maintenant il est une heure et faut que je range, demain je reçois, lessives à faire, et il faudrait que je pense à dormir aussi. demain je travaille. Ce qui est chiant dans un musée, c'est que c'est ouvert tous les jours, du lundi au dimanche. Repos mardi, vivement.[°]

 

 

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19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 02:17

PaF.

Je vous ai lues...vos commentaires, vos mots, votre présence. Parceque vous m'avez touchée, parceque vous avez réussi à m'oter des larmes, à m'arracher une émotion. Vous m'avez fait me sentir vivante. Un instant la vie m'a traversée, me rappellant que j'étais humaine et non cette machine que je me suis fabriquée. Je...j'ai...Waw. Peut-être que ça peut paraître ridicule. Peut-être que certainssument "ça" a des "contacts virtuels". Mais derriére ces mots...Frissons. Blush. Larmes salées coulant doucement sur le sourire. Ne pas se lasser de relire encore. Ne plus se sentir seule, l'espace de ces quelques minutes qui sembent tout à coup s'arreter dans le temps. Fragment de vie. Un seul mot, si faible et pourtant on n'a que celui là: Merci.

["Maigre". J'ai beau me le répéter, triturer les photos, nada. Pas de réaction.]

***

Laure, ce soir j'ai dû rentrer dans le même état que toi -_^" l'autre soir. Je ne sais pas ce que je renvoie aux autres. Je ne sais pas. Parfois, notament lorsque j'ai bu dailleurs, je me vois. Réellement. Et je dois dire que si d'une part j'ai dépassé les paliers que je m'étais fixée [et dont je tire une certaine satisfaction magrés moi], je déteste ces moments de confrontation à la réalité. Je ne me reconnais pas, ça ne peut pas être moi "ça" et je panique. Plein de pensées ma belle, continue à profiter de tes vacances surtout. Et puis un grand merci pour ton soutien qui m'est trés cher.

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Cadiche, je t'ai découverte il y a peu de temps et ne demande qu'à te connaitre un peu plus, en tout cas sache que je te sens pleine de ressources, trés humaine, et qu'en aucun cas tu dois te laisser faire...Dailleurs je te trouve trés courageuse pour tout ce que tu fais. Je suis ravie de pouvoir te suivre réguliérement, avec ton cheminement à toi malgrés un vécu et les embuches qui se présentent à toi. Pensées fortes.

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Blue...Que te dire? Je me souviens la premiére fois que je t'ai lue je m'étais dit putain cette fille elle a du chien, j'aimais ta façon t'écrire. Et j'ai accroché. Je suis "venue" réguliérement te voir, m'inquiétais de cette absence. Je serai heureuse de pouvoir communiquer avec toi aussi. Je te retourne les encouragements et rougis à la lecture de tes compliments^^

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Fée Clochette, c'est drole, j'ai découvert le même jour ton blog par hasard^^ et vu que tu m'avais mise dans tes liens aussi. Je ne demande qu'à ouvrir mon petit cercle de "fidéles" lol, et suis entiérement ok. Et quand je vois combien votre présence me fait du bien, je me dis que oui; un blog peut aider, tant que celui-ci ne dérape pas dans le vice du truc. Courage Clochette et à bientôt.

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Lisanka! Si je m'attendais à ça...

ça m'a fait vraiment plaisir tu sais...je...je ne savais pas que tu passais par ici parfois. Tes commentaires m'avaient tant touchée, et puis je t'ai lue évoluer, grandir.

Tu ne peux pas savoir comme le mot "personnalité" me fait du bien. L'impression souvent que l'anorexie est désormais mon identité. J'imagine que les gens parfois, pour m'évoquer doivent juste dire "mais si...tu vois qui,l'anorexique", et ça ça fait mal. Je ne leur en veux pas, là n'est pas la question. C'est juste l'histoire de...du résumé. Je me dis qu'au premier abord, je ne dégage que ça, l'air maladif. Je me débats contre ça et chaque fois je me sens obligée de prouver que derriére il y a moi. Un Moi perdu, mais au fond il est là quand même. Que je suis une personne, un individu. Pas juste une malade merde, jte jure des fois j'y pense et ça me fout en boule, d'avoir ce statut miséreux de victime, alors que non...enfin...merde c'est compliqué, le débat est vaste. J'imagine que si je m'exprime clairement [ce qui n'est pas dit] tu dois savoir de quoi je parle.

Lorsque je lis ton évolution je me dis bon Dieu, on peut. POSSIBLE. Bordel, c'est POSSIBLE. Je me sens tellement perdue parfois,Et toujours la solitude pesante qu'engendre l'incompréhension des tiens, eux que tu aimes et que tu frustres par la complexité de la maladie, ta propre incompréhension et ce comportement irraisonné, incompréhensible.

Nous avons le même âge^^

Je te souhaite vivement de ...de vivre pleinement, de t'empiffrer de bonheur, de...waw. J'imagine que tu dois voir les choses d'un oeil nouveau aujourd'hui.

Je voulais te remercier aussi de ta présence ici, qui m'enchante sincérement, et d'avoir fait partager ton expérience. D'avoir communiqué cette force de croire à la sortie. Pas à l'issue de secours, non, la grande porte. Ton blog est, je pense, un  témoignage poignant, constructif [rare aussi...], et plein de lumiére.

Merci.

°°°

 

 

°°°

Pensées aussi à la Fée flaque et à son nouveau Baptême, Sand, Hush, Bamboo qui revient doucement...et à une autre petite Clochette perdue...

[Ps: Je ne me connecte que trés rarement sur msn, par manque de temps, mais pas de pbme pour les e-mails. Cela me ferait plaisir.Tout en bas de la page il y a un lien sur "contact" avec mon adresse. Lisanka, je prends note^^ ]

 

 

 

 

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15 août 2006 2 15 /08 /août /2006 23:13

 

 

 

 

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15 août 2006 2 15 /08 /août /2006 13:15

Ecrit le 15/08/2006 12:48:12 Nom : Hush  

Message du commentaire :

L'important, c'est de finir par prendre soin de soi, pas le temps qu'on y met. Il y a des paliers, des rechutes, des évenements qui nous touchent, des moments d'aveuglements comme de lucidités, et du temps pour digerer et accepter tout ça.

On ne guérit pas en se foutant des baffes dans la gueule, en s'obligeant à guérir. On ne se force pas à guérir. Mais il y a le moment ou l'on guérir, ou les pas deviennent facile à faire parce qu'à l'intérieur, on est pret à.

Je comprend mieux le mélange de rigueur, de réalité et de "soins" malgré tout que pouvait avoir ta responsable.
C'est le genre de personne qu'il faut respecter. C'est le genre de personne qui nous manque je crois.

Pleins de baisers et de courage à toi, prend soin de toi.

 ***

 

HUsh, oui.

Oui à tout.

Pas grand chose à rajouter...oui, la responsable est riche, pleine de ressources humaines, et son attitude m'a été bénéfique. Ces personnes sont rares, elle a fait preuve d'une grande intelligence, j'aimerais beaucoup rester en contact avec elle...elle dégage tant de lumiére, et de charisme, tu verrais comme elle méne son équipe^^

Je ne sais pas si je suis prete à guérir. Enfin, ce qui est sur c'est que je ne peux pas rester comme ça. Ca, c'est sur. Je crois que renouer avec les psys est une bonne chose.

Je ne peux pas rester à voir défiler ma vie comme ça, comme je vois défiler tous ces chiffres emprunts d'une grande signification pour moi, mais si vides à la fois...qui ne me mènent à rien. Juste à la satisfaction le temps d'une sensation de légereté, si ephémére.

Je crois qu'il est temps...au moins de parler. Même si j'arrete au bout de 2 séances. Il faut que j'évacue autrement qu'en embrassant la cuvette, autrement qu'en m'ereintant les muscles...avoir un échange, un échange sur les maux, un échange sérieux sur la situation...UN échange qui me permetteait de me re-situer. De faire le point sur ces 1an et demi passés tant bien que mal, sans eux. Sans aide. J'ai besoin d'entendre quelqu'un d'extérieur à ma vie, quelqu'un d'objectif sur la situation. Même pas pour etre rassurée, juste pour savoir. Ils m'ont suivie pendant 3 ans, m'ont envoyée en hospi, m'ont supportée alors que [m'enfin ça c'est leur boulot] je ne les portais pas vraiment dans mon coeur.

Aujourd'hui je me sens plus mûre pour envisager une vraie thérapie. J'ai pris du recul, j'ai fait du chemin, et j'ai bien vu que je m'en sors qu' à coups de nerfs, à coup de "oups merde, c'est vrai faut que je mange si je veux pas crever", mais pas à long terme. A long terme, y a qu'à me regarder, et d'un point de vue médical, c'est pire. Mais je n'ai plus de crises d'angoisse, ne suis plus sucidaire [si on ne considére pas l'anorexie comme un sucide], suis moins ingérable, moins violente, j'ai fait la part des choses. Juste, j'ai laissé l'anorexie me bouffer, parceque je n'ai pas cherché à la virer, j'ai continué à cohabiter sagement.

Peut-être que ça peut durer toute une vie, [je doute que je puisse tenir jusqu'à 75 ans à ce poids là quand même], et je ne suis pas certaine d'ne guérir un jour. Mais j'aimerais comprendre certaines choses.

Je ne peux toujours pas envisager d'avoir une relation amoureuse et ça commence sérieusement à me peser, mes amis sont là et s'essouflent parfois, ma famille, et puis moi. Moi jsuis crevée. J'en peux plus.

J'ai envie de pouvoir aller bosser sans me demander si je vais tenir la journée. Sans me demander ou je vais bien pouvoir aller pdt qu'ils mangent pour ne pas me faire griller.Et si je vais faire des courses, ne plus y passer l'apres midi pour finalement acheter 2 concombres et 3 pommes.

Je perds le fil et je m'en rends compte tout d'un coup, avec l'amére impression qu'il est tard. Que je ne décide plus seule, que le controle est perdu depuis bien longtemps,lui qui m'a bercée de tant d'illusions.

Voila le topo.

Et je ne suis pas duppe. Cela fait des années que j'en ai marre. Mais il ne suffit pas d'avoir envie de guérir, ou de changer. Je doute fort qu'un jour je puisse m'enfiler une frite sans culpabiliser. Mais si, j'arrivais ne serait-ce qu'à m'accepter, putain de merde, alleluia!

Je t'embrasse fort. 


 

 

 

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13 août 2006 7 13 /08 /août /2006 18:23

Excusez moi de mon absence...

Besoin de temps.

J'ai fini mon intérim à la biliothéque, et cela me manque déja. J'ai beaucoup aimé ce boulot, malgrés les quelques tensions qu'il y eu, et encore, cela s'est arrangé.

Pour clore le sujet, la responsable nous a invité au resto vendredi midi, nous étions à trois, les autres devant assurer la biblio. Lorsque j'ai eu fini ma salade sans assaisonnement, elle y a jetté un oeil et m'a jetté franco "tu manges rien toi dis donc! Tu serais pas anorexique par hasard?". Elle m'a prise au dépourvu jvous raconte pas lol. C'étais si franc, spontané et bienveillant en même temps [cela pourrait paraitre indélicat mais ça ne m'est pas apparu comme tel], que j'ai répondu du tac au tac. dans les grandes lignes et sobrement, évidemment, mais en même temps jpouvais pas tellement mentir. Ca m'a fait du bien. De cesser les sous entendus. Elle m'a dit qu'elle trouvait ça respectable; de n'avoir jamais étalé cela sur le tapis,et d'avoir fait le double de boulot alors qu'il n'y avait pas de carburant. "ça, c'est fait". C'est dit, on passe à autre chose.

Je vous passe le passage ou l'autre dit "oh moi des fois j'aimerais bien etre ano, je perdrai des kilos". de ma part elle a eu droit à un rictus nerveux, tandis que la responsable l'a engueulée ferme. [Na!]

La responsable m'apprendra par la suite que sa fille a exactement mon âge. Elle est en chaise roulante. Ca lui fait mal de me voir me détruire alors qu'à la base j'ai la santé. Qu'elle ne peut pas comprendre, mais elle respecte. J'avais besoin de ce moment en tre elle et moi. Je sais pas pourquoi. Un moment ou on pourrait mettre les choses au clair. Elle méritait quelques explications. et je la respecte, c'est une femme bien.

***

 

Maintenant...les choses sérieuses:

 

 

Une question :


 Qu'est ce qui , selon toi, pourrait te faire guérir?

Commentaire n° 6 posté par: Laure le 10/08/2006 - 01:53:20
 
Laure, j'avoue que ta question m'a "emmerdée" pendant des heures et des heures. Je m'suis dit "hey, qu'est ce que t'es en train de foutre bordel?!".  Ca m'a remis à ma place. J'étais en train de me complaire. Au bout d'un moment, soit on assume, point. Soit on se donne les moyens de s'en sortir. Aujourd'hui je paye l'épuisement accumulé de ces derniers mois. J'ai bossé et déployé toutes mes forces pour faire un boulot correct et respectable, j'ai couru comme une singléé,  battu mes records d'endurance, enduré des nuits d'insomnie avec le ventre vide. Aujourd'hui j'ai pas bossé, le résultat c'est que mis à part pour me déplacer jusq'à l'ordi, jsuis restée au chaud dans mon lit, en train de pleurer sans raison. Je dois retourner bosser au musée demain, et sans rire, pour la premiére fois, je crois que je vais devoir appeller pour y aller plus tard, quitte à aller voir le médecin [pour que je pense à ça c'est vraiment que...]Mais faut se l'avouer, tant que j'ai un rythme ça va, dès que je relache, je me rends compte que j'ai pas de force, j'ai plus de force. J'ai mal au dos, des crampes toutes les trois minutes tout le le long des cuisses, des mollets, les trapézes durs comme du béton et merde putain...je me suis encore laissée berner.  Je suis en pic. PLutot en chute. Chute libre. Impossible de marcher sans tituber. Au boulot je peux le cacher, toute seule chez moi la vérité est là. Je rappelle mes psys. Tanpis.
Cela fait bientot un an et demi que je n'ai donné aucun signe de vie. Vont pas être déçus. Le tout est d'eviter de prendre ça comme un échec. Prenons le putot comme une bonne chose, disons, une prise de conscience...
Merci Laure.
Je vous embrasse tous...
 
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8 août 2006 2 08 /08 /août /2006 00:53

Week end flottant.

Entre deux eaux.

Entre les diurétiques, le ffoting, l'alcool et la farniente.

Ne jamais pourtant y être complétement, ni dans la course effrenée ni dans la léthargie.

Week end chargé en passage divers de potes, plus ou moins invités mais bienvenus.

Je me suis noyée dans mes verres en essayant de calculer combien de temps je devrais courir pour qu'ils s'en aillent de mon corps.

Le temps de calculer, ça fait beaucoup de verres, de clopes, de paroles en l'air et dénuées de sens. La conclusion et que j'ai dû courir beaucoup, trop. Forcément.

La conclusion est celle-ci: Demain sera dur. Demain je travaille.

Si je n'ai pas posté ici depuis quelques jours c'est déja que je n'ai pu beaucoup de temps à moi: diverses contraintes imposées par moi-même ne me permettent plus autant de libertés; deuxio, mon cousin et sa copine sont venus me tenir compagnie, et organisent des soirées potes mêlées aux miennes [un sacré programme]; tercio, j'ai un probléme au boulot, dont il faut absolument que je vous parle.

Vendredi dernier, je suis arrivée une heure en retard au boulot. Cause: malaise au réveil, malaise dans le métro. Résultat: Mes jambes me font si mal lorsque je les souléve que je marche à 3 à l'heure. Il faut dire que ce fut une semaine de challenge pour moi, tout cet alcool, ces fêtes et ces débordements, faut bien queje les compense, alros je me suis remise plus qu'activement au footing. Mais trop, comme d'hab. Et donc, la veille de ce disfonctinnement corporel, j'avais couru plus d'une heure [avec comme force mes nerfs], puis 3/4 h de marche rapide. Je me suis couchée à 3h du mat', et ai espéré pouvoir me lever comme tous les matins pour aller bosser. Mais non.

Lorsque je suis enfin arrivée, la chef ne m'a trop rien dit, j'étais soulagée. Puis elle me regarde avec un peu plus d'approfondissment et me dit, ah oui, t'étais fatiguée? je réponds vaguement tout en me préparant activement à la tache.Elle me sort que de toutes maniéres l'autre connasse dont j'ai déja parlé dans un article précédent,que cette grosse conne lui a balancé que je mangeais pas assez, et que c'est normal et bla bla bla. J'ai cherché furtivement dans mon sac un truc à prendre, je sais pas, un truc qu ferait diversion, comme si ce putain de sac allait me sauver, comme si il allait me dire, tiens la sortie c'est ici! Pendant toute la journée je me suis fait engueulée, parceque c'est un métier ou faut BOSSER, qu'il faut des forces, que sinon je pouvais rentrer chez moi, que c'était vraiment complétment con de vouloir maigrir là ou j'en étais, qu'elle avait remarqué qu'y avait un truc qui clochait de toutes maniéres, que que que...Dans ma tête ça résonnait et ça en devenit inaudible, juste un lointain bourdonnement désagréable. Puis elle s'est tue, et elle est repartie. Elle est revenue avec une part de tarte. J'en prends, je grince et garde bonne figure. M'ne re-propose, je murmure un non merci poli.

J'ai vite repris la part qu'elle me tendait vigoureusement. A son regard, j'ai vite pigé que je n'avais pas le choix. La journée a repris son cours normal.

{l'autre savourait ce moment, ce moment où elle me voyait contrainte à ingurgiter quelque chose}

Je respecte ma responsable, vraiment. Elle doit être l'une des seules personnes au monde à ne "pas voir" la maladie, elle ne s'attache pas à ces choses là, le nez dans le guidon, elle vit pour le boulot, pour que ça tourne, maniaque de la mort.  Elle ne dépense pas son energie à savoir sii oui ou non son équipe se porte bien, pas le temps. POur rattrapper mon retard, je vais lui proposer de bosser une heure de plus demain. Mais je...je ne sais pas si en m'excusant je dois lui expliquer aussi. J'en sais rien. Clore le dossier et faire style de rien ou...M'excuser en lui disant que je fais tout mon possible, lui raconter la situation dans les grandes lignes, sachant qu'elle est trés contente de moi jusqu'à maintenant; elle dit que je suis une usine à moi toute seule, et que j'ai déja fait énormément.

J'éprouve en plus une sorte d'admiration  pour cette femme qui ne ma facilite pas la tâche. Sur le coup j'aurais pu me fondre en excuse, lui raconter toute ma vie, chercher un appui maternel, un regard compréhensif.

C'est ma chef, et on fait pas ça au boulot. J'ai toujours eu ce probléme. Chercher la maternité chez des profs, des collégues...ma psy...

 

 

 

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*Anorchidea*

  • : [La pÂleur mOntre JusQu'où le cOrps PeUt cOmprendRe l'âMe]
  • : Le pardon ne pouvant s'envisager, seule une vengeance violente, une décharge de tout ce qu'il y a de mauvais, malsain, au plus profond du subconscient, pourrait permettre de ne plus penser aux noirs souvenirs qui gangrènent ma chair me rendant chaque jours un peu plus malade. Mes pieds s'enlisent, mon esprit les suit. Je me perds. L'anorexie fait partie de ma vie depuis trop lontemps.
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